Au jour 2 de la mission de supervision de la BID, il a été question de pouvoirisation et d’autonomisation financière des populations. En effet, dans son approche de financement, la BID privilégie l’approche renforcement de capacités et chaines de valeurs.
En effet, pour accroitre le succès et la rentabilité des projets, il faut d’abord organiser les acteurs pour qu’ils acceptent de travailler ensemble. Ensuite convaincre les différents acteurs de l’importance à travailler ensemble. Le financement vient en bout de chaîne.
Mohamed Mazen Dahli, point focal du PROMISE à la BID, est revenu sur les origines de la finance islamique. Il a ensuite présenter quelques projets à succès qui ont utilisé cette approche en Palestine, au Soudan, en Tunisie et en Egypte.
Dr Nabil Ghalib a insisté sur l’importance de la formation et de l’organisation des acteurs avant tout financement.
Le CN du PROMISE, Néné Fatoumata TALL a, quant à elle, insisté sur la nécessité d’accélérer la libération de la ligne de Moudharaba restreinte pour passer à l’échelle dans le financement des acteurs.