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Appuyé par Manufacturing Africa, un programme du gouvernement du Royaume-Uni, PETROSEN Trading& Services boucle deux études clés pour sa future usine d’engrais dénommée SEFCO.

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Dakar, le 13 mai 2024 – PETROSEN Trading & Services a organisé ce lundi 13 mai 2024 une session de restitution portant sur deux études relatives à son projet de construction d’une usine d’urée, un engrais
azoté entièrement importé au Sénégal à raison d’environ 100 000 tonnes par an. Il s’agit, dans le détail, d’une étude de marché et d’une étude qui examine le potentiel de captage du carbone de cette usine dont la mise en service pourrait intervenir en 2029. Ce projet, dénommé Senegal Fertilizer Company (SEFCO),
vise à valoriser localement le gaz découvert au large du Sénégal afin d’atteindre l’autosuffisance en urée
et de mieux valoriser son phosphate, à travers notamment la formulation d’engrais de mélange NPK.
Ces études ont été réalisées avec le soutien et l’expertise du consortium Manufacturing Africa, un programme du gouvernement du Royaume-Uni.
L’évènement, qui a rassemblé les dirigeants du Groupe PETROSEN, l’Ambassadeur du Royaume-Uni au
Sénégal, des autorités politiques et administratives, ainsi que des membres du consortium Manufacturing Africa, a permis de mieux comprendre les enjeux du projet Urée-SEFCO tout en confirmant la progression de son développement.
Les deux études présentées ce 13 mai 2024 confirment l’ambition du Groupe PETROSEN d’inverser la balance commerciale du Sénégal en ce qui concerne le commerce de l’urée et des engrais NPK. L’étude de marché a notamment permis de confirmer la compétitivité de la future usine SEFCO par rapport aux autres exportateurs mondiaux d’urée. PETROSEN approvisionnera notamment les marchés de la sous-région ouest africaine (Mali, Burkina, Côte d’Ivoire, Ghana), ceux de l’Europe mais aussi les Etats-Unis et le Brésil, deux des plus gros importateurs d’urée dans le monde.
Confirmant l’approche durable qui guide à la réalisation du projet Urée-SEFCO, la deuxième étude a permis d’évaluer que près de 17 millions de tonnes de CO2 pourraient être captées au cours des 30 ans d’exploitation de l’usine. Le CO2 capté grâce à des technologies de rang mondial pourrait être réutilisé dans la conservation alimentaire, l’industrie agroalimentaire (froid, brasserie) ou encore la construction.

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